Les Amis de Villepey

Base Nature de Fréjus, Samedi 17 et dimanche 18 novembre 2018, 
dans le cadre de la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets, le SMIDDEV organise le Festival REcréation.

—–> Les Amis de Villepey seront présents et animeront deux ateliers : « Créations » et « Laisse de mer ».
Passez nous voir en famille.

Dimanche 22 juillet à 8 heures, eh! oui les 22 participants se sont levés tôt,

pour bénéficier des commentaires avisés de Denis lors de cette remontée de l’Argens

depuis la base nautique municipale du Muy.

Nous démarrons tranquillement, il faut apprivoiser l’embarcation, se réveiller et chauffer les muscles des bras.

Un martin pêcheur nous précède et ouvre la voie en passant d’arbre en arbre à quelques dizaines de mètres. Par contre les libellules et les demoiselles nous effleurent comme pour nous faire admirer leurs splendides couleurs. Nous surprenons malicieusement quelques moments de leur intimité en assistant au ballet de quelques accouplements.

Un cormoran perché assez haut dans un arbre se repose tout en nous épiant et lorsque la distance de sécurité lui parait insuffisante, il s’envole.

Nous croisons d’autres oiseaux , certains sans les voir mais en percevant leurs cris

– notamment le Pic Vert,

d’autres en percevant furtivement leur passage rapide

– les guêpiers d’europe, la bergeronnette, le pigeon ramier…

un autre en admirant son vol ascensionnel dans un courant d’air chaud

– un grand rapace.

Par contre nous percevons nettement

– les hirondelles rousselines ayant construit leur nid sous le pont de l’autoroute, pour les connaître mieux, suivez ce lien 

ou – la Bondrée Apivore à la recherche de son repas favori, guêpes bourdons… pour la connaître mieux suivez ce lien

– un peu plus loin c’est un grêbe castagneux qui fait de brèves apparitions entre deux plongeons… pour le connaître mieux, suivez ce lien

Le lit encaissé de l’Argens bordé de ripisylves et de falaises abruptes par endroit constitue un refuge sauvage propice au passage ou à la sédentarisation de bien d’autres espèces animales.

Evidemment nous ne croiserons pas de chauves souris, mais à la nuit tombée elles seront nombreuses à se déplacer dans ce chenal qui facilite leur orientation. Pourtant elles sont bien là à se reposer dans les trous naturels des falaises.

Pour en savoir plus sur les chauves souris au bord de l’Argens, regardez cette vidéo

Par contre, nous avons la chance d’observer à faible distance,

– des tortues cistudes, pour les connaître mieux suivez ce lien

– des grenouilles,

– et des couleuvres vipérines. pour mieux les connaître suivez le lien

• et parmi les nombreux insectes on s’arrête quelques minutes pour observer la danse très harmonieuse mais rapide des gerris (plus communément appelés araignées d’eau) qui se déplacent à la surface de l’eau grâce à des poils hydrofuges sous les pattes,  pour les connaître mieux, suivez le lien

La matinée a passé très vite au fil de l’eau et en buvant les paroles de Denis; vers midi nous déposons les kayaks à la base nautique en bavardant un peu et en échangeant nos impressions… une question revient souvent, « Quand recommence-t-on ? »…

La sortie kayak sur l’Argens que nous proposons chaque année en début d’été est toujours très appréciée. Cette année encore, Denis Huin guide naturaliste et ornithologue, a accepté de nous accompagner et de nous faire profiter de ses commentaires avisés sur la faune et la flore si particulières de ce milieu.

Le 13 mai nous avons décroché et rendu les oeuvres aux 35 artistes participants, ainsi que les travaux des élèves de deux classes du collège de l’Estérel à Saint Raphaël. Nous souhaitons remercier une nouvelle fois tous les contributeurs sans qui rien n’aurait existé.

Les projections de photographies par Christian Bury et le film de Guy Bortolato qui complétaient merveilleusement bien l’exposition ont été appréciées par un large public.

Les 450 visiteurs vont sans aucun doute retourner à Villepey avec une nouvelle envie, celle de découvrir tous les espaces particuliers qui ont été mis en valeur au travers des photographies et des tableaux.

A l’année prochaine…

Sortie Nature dans la Plaine des Maures

Animée par Denis Huin, guide naturaliste et ornithologue

Dimanche 22 avril 2018-04-23

• Le compte rendu,  c’est ici
• Plus de photographies, c’est ici

Cette première journée des étangs d’arts est une réussite

Si la matinée de ce samedi 5 mai fut calme en terme de fréquentation, l’après-midi nous avons accueilli de très nombreux visiteurs satisfaits de passer un bon moment à admirer les tableaux et les photos que des artistes locaux ont pu réaliser, sous le soleil, sur le magnifique site des étangs de Villepey  le samedi 21 avril.

Notre exposition « Villepey, une oasis de biodiversité » a également conquit les visiteurs.

A 17h30, la conférence sur les oiseaux à Villepey de Christian Bury a été suivie avec attention par plus de 80 personnes. Nous le remercions pour la qualité de son intervention qui a captivé les grands et les petits.

Avant le verre de l’amitié Annick Gauthier notre présidente a tenu à remercier tous les artistes peintres et photographes qui ont contribué au succès de la manifestation en soulignant la présence parmi eux de deux jeunes voire très jeunes photographes au talent indéniable, Léna 8 ans et Marion (lycéenne).

Elle a également fait part de sa satisfaction quand à la participation de deux classes du collège de l’Estérel à Saint Raphaël qui ont produit des carnets de voyage à Villepey très documentés.

Travaux des élèves du collège de l’Estérel

Nous vous attendons nombreux Espace Municipal et Culturel de Port Fréjus

(salle dite Le Bateau) pour cette semaine d’expositions et de conférences.

Pour voir l’affiche

C’est sous un soleil éclatant que se sont retrouvés une trentaine de peintres et photographes, pour jeter leur regard d’artistes avisés sur ce site magnifique des étangs de Villepey. Nous les remercions sincèrement d’avoir contribué au succès de cette journée.

Nous retrouverons leurs oeuvres dès le 5 mai et jusqu’au 13 mai à l’Espace Municipal et Culturel de Port Fréjus (salle dite « le bateau »)

Voici quelques photos de cette belle journée, malheureusement je n’ai pas croisé tout les participants.

Tout le matériel est dans le sac, on y va

repérage en vélo

Quand un peintre rencontre un autre peintre qu’est-ce qu’ils se racontent?

après l’effort le réconfort

L’équipe se met un peu à l’ombre

en attendant les derniers participants

On vous attend pour l’exposition, tous les détails ici

Le dimanche 22 avril à 14h, Denis Huin, guide naturaliste et ornithologue, 
animera pour notre association une troisième balade conférence de la saison, après l’Endre et le Reyran, nous poursuivrons sur le thème de l’eau dans la plaine des Maures.

– Thème ​: Tantôt en eau, tantôt à sec : les mares, ruisselets et rus temporaires de la plaine des Maures. 

 

Ce samedi, la météo n’est pas venue perturber la deuxième balade conférence animée par Denis Huin sur le thème de l’eau.

Le Reyran

31 mars 2018

Nous étions plus d’une vingtaine au rendez-vous pour suivre et écouter Denis nous parler du Reyran, ce ru temporaire méditerranéen actuellement en eau du fait des pluies des dernières semaines. Nous avons d’ailleurs renoncé à traverser le gué avec les voitures. Nous abandonnons donc nos véhicules un peu avant le parking et modifions l’itinéraire initialement prévu. Nous restons sur la rive gauche du ru où Denis commence par une présentation de la géologie des lieux. Il nous fait observer des strates de roches datant du carbonifère supérieur où sont présents, quasiment en surface,  des filons de houille.

Filon carbonifère

Filon carbonifère

Le charbon a été exploité jusqu’en 1944, et la rupture du barrage en 1959 a définitivement détruit les installations de l’usine Boson qui alimentait les usines à gaz de Nice et Cannes au début du XX ième siècle à partir de la distillation du boghead (charbon bitumeux formé à partir d’algues) et de la houille grasse extraite sur place.

Ruines de l’usine Boson (distillerie des houilles grasses)

Nous passons devant plusieurs empreintes de plantes dans les roches métamorphiques, notamment celle d’une superbe prêle géante.

Empreinte de prèle géante

Empreinte de plantes

Les entrées des galeries de mines ont été fermées et sécurisées ; elles sont aujourd’hui un refuge apprécié des chauves-souris.

Entrée condamnée d’une galerie de mine

Nous contournons à plusieurs reprises des blocs énormes de béton, vestiges du barrage qui témoignent de la grande puissance de la vague qui s’est développée lors de la rupture.

Blocs de béton du barrage

Par endroit des agrégats hétéroclites  transportés par le Reyran constituent des zones incultes où, pourtant, quelques plantes très résistantes ont réussi à coloniser les lieux  : fenouil, thym, sarriette, euphorbe épineuse, immortelle (à l’odeur de curry), sédum, lunetière…

Euphorbe épineuse

Lunetière (plante à fleurs jaunes)

Fragon faux-houx ou fragon petit-houx

Un circaète Jean-le-blanc vient survoler majestueusement les lieux, sans doute à la recherche de sa proie préférée, le serpent.

Circaète Jean-le-blanc

Circaète Jean-le-blanc

Circaète Jean-le-blanc

Avant d’approcher plus le Reyran nous passons à coté des arches de l’Esquine, ruines de l’aqueduc romain qui alimentait en eau Forum Julii depuis Mons et Montauroux.

Les arches de l’Esquine

Sur les bords du Reyran nous aurions pu croiser des cistudes d’Europe, tortues aquatiques en voie de disparition en France, pourtant nous avons la chance d’en voir encore dans les rivières et étangs des environs.

Au passage sous le pont de l’autoroute Denis nous signale la présence de nids d’hirondelles. Deux espèces se côtoient : l’hirondelle des rochers vivant dans des nids en coupelle, et la rousseline espèce beaucoup plus rare. Son nid est en forme de bouteille pansue. Il n’existe plus qu’une centaine de couples en France dont 50 dans le Var et 10 au moins à Fréjus.

Pour en savoir plus sur la rousseline.

Voilà bientôt 3 heures que nous écoutons attentivement Denis,  nous rejoignons les voitures pour rentrer…

en attendant la prochaine fois :

• Reconnaitre des silhouettes d’oiseaux
• Retrouver les becs d’oiseaux (puzzle)
• Découvrir des arbres
• Jeu des 6 familles d’animaux
• Jeu de cubes « oiseaux » pour associer les adultes à leurs petits, à leur nid, à leur milieu de vie…

Une météo peu favorable a contribué à restreindre le groupe initialement prévu, nous sommes malgré tout une petite dizaine venus suivre et écouter Denis Huin, guide naturaliste et ornithologue, qui nous propose de longer l’Endre. Cette petite rivière (28 Km), qui prend sa source à Tourrettes, traverse la barre rocheuse de la Colle du Rouet avant de se jeter dans l’Argens près  du village du Muy. 

Ce qui frappe d’abord sur ce site sauvage ce sont les contrastes de couleurs surprenants, avec les falaises et rochers siliceux (souvent de la rhyolite) aux tons rouge-rosé , des dépôts de pierres roulées blanches  ou de couleurs très pâles et le tout mêlés à une végétation à dominante verte (maquis, pins). Toutefois on peut remarquer que le maquis a souffert de la sécheresse ces dernières années; espérons que la pluviométrie sera suffisante à l’avenir afin d’éviter la disparition de cette végétation typique. 

Le long de la rivière de nombreuses plages se sont formées à partir des alluvions déposées. (sable, vase, argile, pierres) Par endroit de petits barrages naturels retiennent l’eau jusqu’à former de petites mares qui resteront tard en saison, c’est le territoire de deux poissons adaptés aux aléas de ce cour d’eau intermittent, le barbeau méridional et le blageon. C’est aussi le lieu de vie d’une tortue aquatique, la cistude d’Europe. 

L’ONF gère la forêt de toute la zone de la colle du Rouet à la jonction entre la plaine de l’Argens et le massif de l’Estérel; cette forêt forme un ensemble remarquable par sa richesse écologique et ses paysages. Les forestiers font face à deux enjeux majeurs : les incendies et la pression de l’urbanisation. Les derniers incendies, il y a une dizaine d’années, ont quasiment fait disparaitre les pins. Il reste encore quelques troncs calcinés qui émergent au-dessus du maquis. Ils ont fait le bonheur des oiseaux de la famille des picidés qui ont creusé les troncs pour nicher et se nourrir. Les trois espèces de pics – à savoir pic vert, pic épeiche et pic épeichette – sont bien présentes sur le site. Le pic épeiche a été vu et entendu lors de la sortie.

Au détour d’un chemin Denis nous fait remarquer un pin qui présente de longues cicatrices verticales. Elles sont sans doute la résultante de la pratique du gemmage, opération qui consiste à blesser le pin pour en récolter la gemme ou résine. Blessé le pin produit une substance, composée à 70% de colophane, 20% d’essence de térébenthine, et 10% d’eau, qui contribue à la cicatrisation. Après divers traitements cette substance était utilisée pour la fabrication de produits de nettoyage, en pharmacie, et également pour le calfatage des bateaux en bois.

Les nombreuses haltes sont l’occasion d’admirer (ou écouter) la faune. Notre regard croise de nombreux oiseaux d’espèces très variées : geais des chênes, grives draines, pigeons ramiers, pics épeiches, hirondelles des rochers, pouillots verdâtres, mésanges à longue queue, bergeronnettes grise et bergeronnettes de ruisseaux, alouettes, pinsons, rouges-gorges et autres pies, merles, grands corbeaux.

Le geai des chênes

La bergeronnette

Nous avons profité du chant de nombreux oiseaux mais aussi de celui des grenouilles rainettes.

Le milieu particulier en bordure de cette rivière d’eau claire et froide favorise une végétation sauvage abondante. Les saules pourpres ou blancs et les aulnes ont les pieds dans l’eau tandis que les chênes, les frênes, les pins se tiennent à l’écart. 

Quand à elle l’hellébore fétide est en fleurs juste à coté d’un pied de lavande des îles… un mélange des genres surprenant quand on sait que l’une est d’affinité plutôt montagnarde et que l’autre est franchement méditerranéenne.

Le temps s’écoule très vite en écoutant Denis, mais il faut rentrer car la nuit ne va pas tarder.

On vous donne rendez-vous le 31 mars pour une escapade en plaine des Maures.

Cette édition 2018 des Journées Mondiales des Zones Humides est un bon cru pour notre association grâce à la motivation de ses adhérents et amis qui ont répondu présent.

Une météo favorable nous a accompagné sur les deux jours.

√  Samedi après-midi une cinquantaine de participants de tous les âges, en famille ou entre amis, ont sillonné les sentiers autour de la ferme des Esclamandes en participant à notre rallye découverte. Des jeux et la rencontre des animateurs de notre association lors de neuf étapes ponctuaient le parcours. Chaque équipe a complété un questionnaire et a ainsi pu conforter ses connaissances sur le rôle d’une zone humide, sur sa faune et sa flore.

Le jeu des becs

Un grêbe et une foulque

L’observatoire « les cisticoles »

Deux cormorans

L’observation à la lunette

Un ragondin

√ Dimanche matin, sous la houlette des gardes du littoral et avec le soutien du club de kitesurf, c’est également plus d’une cinquantaine de courageux qui ont participé au chantier nature. Malgré la fraicheur matinale l’ambiance était très chaleureuse grâce à la bonne humeur et l’entrain de tous.

Après un petit café, nous nous répartissons en trois équipes pour ainsi :

› Poursuivre l’élaboration d’un mur en pierres sèches débuté l’an dernier,

› Réhabiliter en retirant du sol d’une nouvelle zone, les gravas, morceaux de béton et autre macadam laissés par les dernières entreprises qui ont pourtant quitté les lieux il y a plus de trente ans… la surface ainsi nettoyée favorisera la pousse plus rapide de plantes. 

› Couper une grande quantité de plantes invasives dans le but de favoriser la repousse de la végétation endémique.

Le groupe des courageux au petit matin

Les cisticoles : c’est le nom d’une famille de passereaux représentée entre autre par la cisticole des joncs, vivant à l ‘intérieur ou à proximité de zones humides. Sa taille est de 10 cm et son poids de 5 à 12 gr. Le nid est construit à 30/40 cm du sol en entrecroisant des herbes, plantes palustres et des graminées, en mars ou en avril. Il peut y avoir 3 couvées par saison.

L’observatoire sur l’étang des Esclamandes porte le nom de cette famille d’oiseaux.

pour en savoir plus : http://www.oiseaux.net/oiseaux/cisticole.des.joncs.html

Cisticole des joncs. Famille des Cisticolidés. Ordre : Passériformes

L’observatoire sur l’étang des Esclamandes

Joli spectacle sur les étangs de Villepey avec ce ballet de flamants roses

… et n’oubliez pas ce week-end nos rendez-vous, samedi 3 pour le rallye découverte en famille à partir de 13h30 départ de St Aygulf en bord mer entrée des Esclamandes vers le Mas d’Estel et le spot de Kitesurf… et dimanche matin 9h entrée du chemin des étangs en face du camping la Plage d’Argens pour le chantier nature…

http://www.varmatin.com/…/le-spectacle-feerique-et-insolite…

« La Convention de Ramsar est le plus ancien de tous les accords modernes mondiaux et intergouvernementaux sur l’environnement. Le traité a été négocié dans les années 1960 par différents pays et organisations non gouvernementales préoccupés par la perte et la dégradation croissantes des habitats en zones humides pour les oiseaux d’eau migrateurs. Adopté dans la ville iranienne de Ramsar en 1971, il est entré en vigueur en 1975.

Pour en savoir plus :  https://www.ramsar.org/fr/a-propos/la-convention-de-ramsar-et-sa-mission

Notre association est, chaque année,  présente et active lors cette manifestation.

Nous proposons deux activités, une ludique « Rallye Découverte » et un chantier nature car le site des étangs de Villepey a besoin de nos efforts pour être réhabilité et valorisé.

Samedi 3 février à partir de 13h30 :

Dimanche 4 février à 9h : 

Ce 18 novembre fut une journée dense. En effet, elle a débuté par le vernissage de notre exposition « Villepey, une oasis de biodiversité ».  Dans son discours la présidente a remercié la ville de Puget-sur-Argens, représentée par M Régis adjoint aux grands travaux et à l’environnement, qui a mis a notre disposition une salle agréable puis elle a rappelé les objectifs de notre association. Enfin elle a présenté le contenu de l’exposition en soulignant l’importance de cette zone humide côtière encerclée par l’urbanisation.

En début d’après-midi Denis Huin guide naturaliste et ornithologue a animé une balade conférence sur le vivier romain des Issambres, la flore, la faune du littoral. 

Cette photo prise à St Cyr montre la différence entre le grand Cormoran (les 3 oiseaux à droite) et le Cormoran de Desmaret (ou Cormoran huppé de Méditerranée en bas, à gauche)

Le vivier gallo-romain, Les Issambres

Le vivier gallo-romain, Les Issambres

Cinéraire maritime

la crithme (la plus grande)

Le Statice nain ou lavande de mer naine ou encore Limonium pseudominutum qu ‘on ne trouve qu’entre St Tropez et Fréjus

En fin d’après-midi notre assemblée générale annuelle s’est déroulée à la maison des associations à Saint Aygulf. Après une collation bien méritée, les adhérents ont pris place pour la présentation du rapport moral de la présidente, du bilan financier du trésorier, de l’annonce des projets pour 2018 et l’élection du tiers renouvelable des membres du conseil d’administration. Le dialogue avec la salle a été constructif notamment sur le projet de maison nature que nous souhaitons promouvoir auprès des gestionnaires du site de Villepey en collaboration avec d’autres associations notamment EPAFA et du club de Kitesurf tout deux présents à notre réunion.

Depuis ce matin 17 novembre notre exposition est accessible gratuitement de 10 h à 17 h Espace Cézanne 101 rue de la Liberté à Puget-sur-Argens, et ce jusqu’au jeudi 23 novembre au soir.

On espère vous y rencontrer.